Un voyage en enfer.

- La batte, c'est cadeau.

Pierre avait dit cette phrase sur unton léger mais il savait parfaitement que c'était peut être la derniére fois qu'il parlait à un être humain vivant. Le kendoka observa les alentours mais ne remarqua rien de spécial toutefois le nombre important de carcasses de véhicule offrait énormément de cachettes à ces monstres.

- Bon, réfléchissons. Je suis à Chelsea qui est plutot dans la zone ouest et si je neme trompe pas Harlem est dans le nord de l'île, donc je dois aller ... Par là! Enfin je crois.

Pierre commença à avancer vers la direction supposée du nord.

- Tain. J'aurais dut prendre une carte.

Pierre n'est pas du genre à l'ais dans les gandes villes alors rajoutez un décor apocalyptique, plusieurs hordes de mort-vivant ainsi qu'une méconnaissance total des lieux et vous finirez par devenir dingue, si vous êtes toujours vivant bien sur. Pierre erra pendant un bon moment mais il ignorait combien de temps exactement et fini par se retrouver à un carrefour.

- Bon, regardons les panneaux, ils m'indiqueront peut être ou aller.

Il chercha rapidemet quand il entendit des coups de feu se faisait entendre de la carcasse d'une voiture de police, le malheureux qui était à l'interieur devait s'occuper d'une dizaine de ces monstre. Pierre chercha quelque chose qui pourrait l'aider à venir à bout des créatures ou un véhicule en état de marche.

Pierre couru vers la boutique. Une fois arrivé à destination il observa les lieux à la recherche d'objet qui pourrais l'aider et aussi d'un sac à dos.

[hrp] La tenue de randonnée comprend un sac à dos?[hrp]

Pierre fut content de sa trouvaille, il avait enfin de la chance depuis le début de cette enfer. Il mit le couteau dans sa chaussure et le poing americain dans sa poche ainsi que les quatre cartouches mais il laissa le nunchaku de coter, c'est une arme dont il ne sait pas se servir et qui pourrait le blesser s'il l'utilisait mal. Une fois cela fait, il regarda le fusil et essaya de voire si il était dans un état qui pourrait perturber son fonctionnemt.

[HRP : Oui, il y a un sac. Je considère quand même que tu ne porte que le tare au niveau de l'armure, parce que les kote, c'est chaud pour manipuler des choses avec et le men, courir avec pendant x temps, c'est quand même fatiguant.]

Le fusil semblait en état de fonctionnement pour Pierre, bien celui-ci n'y connaisse pas grand chose en armement. Il avait simplement besoin d'un coup d'huile.

Pierre ota son men et pris le sac à dos et mis la boite à outils à l'interieur ainsi que le nunchaku à l'interieur. Puisqu'il y avait une tenue de randonnée, il regada s'il n'y avait pas des rations de survie.




[hrp] désolé de poster si en retard mis j'ai pas trop d'inspirion en se momen. [hrp]

Il devait certainement être trop tard pour cette personne, Perre chercha une porte de secour pour s'enfuir par derriere.

Pierre avait faim, rien de plus normal étant donné qu'il n'avait rien mangé depuis le matin, il faudrait donc trouver de quoi se ravitailler et un lieu relativement sur pour passer la nuit. Il revérifia le fusils et notamment s'il était chargé puis passa la porte vers les ruelles.

Pierre se dirigea vers le terrain de basket, l'immeuble est surement remplis de mort-vivant.

Pierre se dirigea vers la grille en sortant le cran d'arrêt de sa chaussure et essaya d'ouvrir la porte, si celle-ci est verrouillée, il utiliserait le cran d'arrêt afin de forcer la serrure.

Pierre regarda le cadenas d'un air mauvais.

Je voulais y aller endoucer mais tu me laisse pas trop le choix.

Il sortit sa trousse à outils fraichement acquit puis regarda s'il n'y avait pas un marteau et un tournevis.

* Sa c'est fait. On se sert et on se taille en vitessee. *

Aprés un dernier coup d'oeil vers la ruelle, Pierre se dirigea rapidement vers la galcière le plus rapidement possible tout en restant sur ses gardes.

Pierre pris les sandwich et les sodas afin de les mettre dans son sac. Ceci fait, il se mit derriére le banc et commença à viser.

A mesure qu'ils quittaient l'obscurité de la petite ruelle, Pierre pût observer plus clairement les quatre personnages, dont le dernier était maculé de sang et trainait derriere lui un corps complètement massacré à la batte...Les graffitis qui couvraient les murs entourant le terrain frappèrent le jeune homme : ils marquaient un territoire.
Ces hommes étaient déments, à n'en pas douter et négocier avec eux risquer d'être une perte de temps...
Alors que les homme pénètrerent dans le terrain, dans un silence inquiétant, ils se figèrent et regardèrent Pierre.
Quatre longues silences suivirent puis le premier leva les yeux au ciel et hurla comme un démon

- Home run !

Le cri fit repris par ses compagnons qui scandèrent sauvagement la même phrase avec une intensité et une démence rare. Enfin le groupe, comme pris de transe, se jeta à l'assaut du malheureux.

Pierre s'était mit en position et se pépara mentalement au combat, un peu comme lors de ses tournoi, afin de garder son sang froid, lorsqu'il vit que l'un d'eux trainer un corp derriére eux et la sa commencé à lui faire peur, plus peur que lorsqu'il s'était battu avec ces monstres, les morts faisaient des mouvement prévisibles mais des dingues ...

- Je suppose que l'on ne peut pas être copain.

- Home run!

- Home run? Merdez, les voila qui chargent.

Pierre essaya de viser le torse mais il hésitait aprés tout ils étaint quand même humain quoique, Il redescendit son fusil et visa les jambes et tira une fois vers les jambes d'un et recommença vers les jambes de l'autres. Une fois le fusil vide, il le lança vers le plus proche et chargea à son tour bokken à la main.